Un vrai choc émotionnel et artistique comme on n’en avait plus vu depuis longtemps. — Branchés Culture
On pense toujours que Frankenstein est le monstre issu de l’imagination fantasque de Mary Shelley. Il n’en est rien. Victor Frankenstein est le nom du savant fou qui, dans la solitude de son laboratoire, recueille des fragments hétéroclites de squelettes et de cadavres pour les assembler, les faire revivre et créer ainsi un nouvel être composite et artificiel. Jan-Christoph Gockel, metteur en scène allemand et Michael Pietsch, son partenaire scénique de longue date, manipulateur et facteur de marionnettes, ont imaginé de transformer la scène en laboratoire, et d’y composer un monstre gigantesque d’une autre nature, composé d’objets de récupération qui tous ont une histoire de vie, celle des gens auxquels ils ont appartenu. Première pièce de ce mécano ludique autant qu’étrange : la montre en or héritée d’une grand-mère centenaire. Mais qu’en faire : un oeil ? une dent en or ?...
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